Aujourd’hui, j’écris un article qui permet de prendre un peu de recul sur le sujet de l’investissement que j’ai envie d’appeler : Investir, un voyage personnel !
Ce sont cinq points que j’aime me rappeler à des moments clés de mon parcours d’investisseur.
Comme mentionné dans le titre, chacun fait son propre voyage financier.
Comparer son parcours à celui des autres peut être motivant. Mais parfois, c’est l’inverse qui se produit.
La plupart des personnes autour de moi qui ne sont pas familières sur le sujet de l’investissement pensent qu’il faut être riche pour commencer à épargner.
Déjà démotivées, elles ne passent pas à l’action, et c’est dommage !
Lorsque j’ai commencé à investir en 2021, j’ai visionné beaucoup de vidéos, lu énormément de blogs. En voyant les différents parcours, je m’étais dit que c’était impossible d’y arriver.
Deux ans et demi plus tard, mon portefeuille a atteint les six chiffres !
La machine était en marche! J’ai gardé le cap d’investir dès que je pouvais, sans me priver dans ma vie personnelle.
Ce voyage personnel financier en se focalisant sur soi et non sur les autres conduit à une gestion financière plus saine et plus gratifiante.
Maintenant, j’aimerais vous présenter 5 points que j’essaie de mettre en place dans mon parcours d’investisseur.
- 1. Écouter sa boussole intérieure
Chaque personne a une relation unique avec l’argent, bâtie par son éducation, ses expériences, ses valeurs et ses croyances.
On ne démarre donc pas du même niveau.
Plutôt que de suivre aveuglément les choix financiers des autres, il faut prendre le temps de se fixer des objectifs, SES propres objectifs ! Vous trouverez les miens au travers de cet article.
Cette boussole intérieure peut guider vers des décisions plus centrées avec sa vision à long terme.
- 2. Faire la différence entre les « sprints » et les « marathons » financiers
Certains investisseurs souhaitent sprinter vers des gains rapides, tandis que d’autres adoptent une approche de marathon axée sur la patience et la croissance à long terme.
Je privilégie la seconde option. Il m’arrive parfois de « boursicoter » avec un faible pourcentage de mon portefeuille lorsque je vois une opportunité intéressante. Ce n’est pas toujours gagnant mais j’essaie de rester concentré sur mon objectif long terme.
- 3. Risques et confort financier
La tolérance au risque varie d’une personne à l’autre.
Alors que certains sont à l’aise avec des investissements plus risqués, d’autres préfèrent opter pour la sécurité et la stabilité.
Comprendre son niveau de confort financier est essentiel. Cela peut varier en fonction de l’âge, ses objectifs à atteindre, son horizon de placement, son niveau de tolérance et de connaissance sur les marchés boursiers.
Personnellement, j’ai choisi un profil « risqué » dans mon choix d’actions et de FNB car mon horizon de placement dépasse les 25 ans.
Cela ne me dérange absolument pas de voir mon portefeuille faire des hauts et des bas. J’essaie de garder un minimum de liquidités afin de faire du DCA (Dollar Cost Averaging) sur des positions que je possède déjà.
Surtout, il faut éviter de se sentir obligé de prendre des risques excessifs simplement parce que d’autres le font, notamment avec le concept de FOMO (Fear Of Missing Out).
Vous en avez sûrement entendu avec l’histoire de Game Stop, ou encore l’envolée du Bitcoin fin 2021.
- 4. Diversité des objectifs
Les objectifs financiers sont aussi vastes que les individus eux-mêmes.
Cela peut être d’acheter une maison, de financer l’éducation des enfants, ou de prendre une année sabbatique pour voyager. Chaque objectif a ses propres échéances et exigences.
Il n’est pas possible de comparer quelqu’un qui épargne pour rembourser ses dettes accumulées dans le passé, une personne qui souhaite monter son entreprise ou une autre qui souhaite être indépendant financièrement (qui? moi?).
Respecter ces différences contribue à une planification financière plus réaliste et réussie.
- 5. Évitez le piège de la comparaison
La comparaison avec d’autres investisseurs peut souvent sembler décourageante.
Comment mentionné au début de l’article, j’ai vécu cette situation.
Plutôt que de se fixer sur les rendements spectaculaires de quelqu’un d’autre, je trouve qu’il faut se concentrer sur ses propres progrès et accomplissements. On entend plus souvent les meilleurs coups de personnes autour de nous que les mauvais.
Chacun avance à son propre rythme, et la vraie mesure du succès financier est personnelle, pas universelle.
Pour conclure, je dirais que le voyage financier est aussi individuel que son passeport.
Accepter la diversité des parcours financiers est une étape cruciale vers une relation plus saine avec l’argent et l’investissement.
Je pense que l’important est de rester fidèle à sa vision et de tirer des leçons de chaque étape de son propre parcours.
N’hésitez pas à suivre mes actualités sur mes différents médias sociaux !
Bon parcours financier à tous et à toutes!
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